Au point de rencontre entre danse, théâtre, performance et vidéo, la compagnie Jérémy Tran s’applique à raconter ce qui ne se dit pas, et révéler ce qui ne se voit pas. Elle part à la recherche des mémoires oubliées, des paroles effacées, pour les rendre visibles et les incarner ; elle donne la parole aux visages et aux corps trop souvent absents. Elle n’a de cesse de saisir l’énergie et la présence des corps, dont elle espère révéler l’essence — leur histoire et leurs instincts. Ainsi, ses chorégraphies, mises en scène, films de danse (vidéo-danse), photographies, expositions ou encore installations performatives se veulent inclusives et représentatives des minorités.
À travers des productions participatives, où collaborent professionnels, amateurs et citoyens, ou encore grâce à des partenariats avec Numéridanse et le Musée numérique Micro-Folie, la compagnie œuvre à l’accessibilité de la culture. Elle prend part à des actions de sensibilisation, de transmission et de pédagogie, et développe des projets relatifs à la formation, la recherche et la médiation.